« La première fois que je suis allé.e au drop-in, c’était parce que c’était le seul endroit où je me sentais en sécurité. Avec le temps, c’est devenu l’endroit où je fais du bénévolat. »

Alex est d’abord venu.e à Project 10 comme participant.e et a ensuite reçu son premier binder grâce à notre programme Gender Gear. Depuis, iel est devenu.e bénévole, membre du conseil d’administration, et une personne engagée dans notre programme de mentorat artistique QTBIPOC, Nos Corps Nos Histoires.

« Je ne m’attendais pas à créer des liens ou quoi que ce soit, je voulais juste un espace où je pouvais être moi. À la place, je me suis retrouvé.e à voir P10 comme une maison. »

« Je n’ai jamais été aussi heureuse de ma vie, et j’en dois une grande partie à P10. »

Lizzie est arrivée à P10 après que sa tante ait trouvé nos ressources. Des feux de camp et séances de vernis à ongles au camp d’été jusqu’aux références médicales obtenues à travers notre réseau, Lizzie y a trouvé amitié, affirmation et accès aux soins.

« Je suis tellement contente que ma tante ait trouvé P10 pour moi à une période où j’étais exclue socialement et où le monde me faisait peur. Ils ont eu un impact majeur sur ma vie. »

« Je suis encore en train de comprendre comment me situer dans le système binaire — en le déstabilisant par mon existence. »

Blob a entendu parler de Project 10 grâce à un.e enseignant.e. Iel y a trouvé la communauté qu’iel cherchait : des pair.e.s bienveillant.e.s, des bénévoles, et des services comme notre Ligne d’écoute.

« Deux têtes valent mieux qu’une — parler de mes problèmes sur la ligne m’aide à sortir de ma tête et à me concentrer davantage sur les solutions. »
Depuis, Blob a animé des ateliers à P10 et continue de grandir avec nous. Son souhait pour l’avenir : « que P10 continue d’éduquer les non-allié.e.s à respecter les membres de la communauté LGBTQ. »

« Project 10 est essentiellement mon seul espace social… j’aurais aimé le trouver plus tôt. »

Robin est venu.e à P10 à 17 ans en cherchant du soutien médical lié à la dysphorie de genre, recevant plus tard un binder grâce à Gender Gear. Iel décrit P10 comme un lieu d’acceptation inconditionnelle où iel a appris à embrasser une identité genderqueer.

« Certaines des amitiés les plus profondes que j’ai jamais eues, je les ai faites ici. »

« Ce n’est pas à propos de moi — c’est à propos de l’accepter, elle. »

Tealey a découvert P10 grâce à sa fille, Becky, qui y a trouvé des ami.e.s, de la confiance et un sentiment de famille. Voir sa fille s’épanouir a inspiré le propre cheminement d’acceptation de Tealey comme parent.

« Je suis la défenseure numéro un de ma fille. Elle peut traverser le Canada et trouver des gens qui l’aiment, et ça me rend heureuse. »